Depuis onze mois, que la guerre génocidaire perdure en Palestine, où des dizaines de journalistes (plus de 160 journalistes), sont tués au moment où ils étaient en train transmettre l’information au monde.
Oui, les forces d’occupation les ont assassinées alors qu’ils portaient leurs casques, gilets, conformément aux règles de travail dans les zones de guerre.
Toutes les preuves prouvent que ces assassinats sont commis avec préméditation, dans le cadre d’une stratégie ouverte visant à faire disparaître les témoins de ces crimes odieux, commis contre des enfants, des femmes, des civils et empêchant ainsi le monde d’avoir des informations crédibles.
Les journalistes africains, arabes, et de tous les pays du monde.
_ Partant des valeurs et principes de la profession.
_ Du droit international et du droit international humanitaire _
Devant la guerre d’extermination, dont les journalistes sont victimes dans la bande de Gaza, les participants aux journées de Nouakchott, (Fij,Faj,Uaj et Ajm),se sont mis d’accord sur une motion, appelée motion de Nouakchott, pour la protection des journalistes palestiniens, comporte :
Leur condamnation extrême et leur forte dénonciation de la poursuite de ces crimes par l’occupation et de l’incapacité des pays et des organisations du monde à les contenir.
Leur demande de condamnation de toutes les personnes impliquées (de celles qui exécutent les meurtres à celles qui les ordonnent à tous les niveaux, jusqu’à ceux qui les couvrent et leur garantissent l’impunité)
Leur engagement et leur engagement à dénoncer ces crimes et à poursuivre leurs auteurs par tous les moyens et médias et dans toutes les langues du monde.
Ils appellent les Nations Unies et toutes les instances internationales, concernées et compétentes à prendre les mesures nécessaires, pour assurer la protection nécessaire et permanente des journalistes palestiniens, pour qu’ils puissent exercer leur noble profession.